Jusqu’à 1000 tonnes au total. Des plongeurs, sonars et autres appareils ont permis de faire un début d’état des lieux avant de fouiller le reste du lac. Le risque d’explosion serait minime tant que les munitions ne bougent pas. Leur présence ne présenterait pas non plus de risque pour l’environnement.
Une nouvelle étude qui se veut rassurante au sujet des munitions au fond du Léman
C’est l’Etat de Genève qui avait lancé une étude concernant les grenades et munitions immergées entre les années 40 et 80 dans le lac.