Cette formule suit un rythme de 20% des établissements par an. Les syndicats s’insurgent contre les modalités. Ils souhaiteraient notamment que cette évaluation reste l’affaire de professionnels formés pour le faire, et qu’elles ne constituent pas un travail supplémentaire pour le personnel.
Enfin les représentants des enseignants demandent que les résultats ne soient pas rendus publics car ils alimenteraient selon eux le marché scolaire.