Ils estiment notamment que leur fonction n’est pas suffisamment valorisée alors qu’elle représente selon eux un maillon essentiel dans la chaîne des soins. Les ASSC demandent alors « une revalorisation salariale substantielle » ainsi qu’une reconnaissance de « la valeur et la capacité de cette fonction à travailler de manière autonome » et appellent à la reprise du dialogue social et à l’ouverture de négociations transparentes.