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Le retour des débats sur le burkini à Genève

Le retour des débats sur le burkini à Genève
Photo d'illustration

L’UDC a lancé aujourd’hui (jeudi) son référendum contre le port du burkini dans les piscines de la ville de Genève.

Il fait suite à la décision prise le 13 février 2022 par le Conseil municipal de réviser le règlement des installations sportives et notamment des tenues autorisées. Pour l’UDC, cette décision « remet en question des décennies d’engagement en faveur des femmes ». Le parti doit désormais récolter 3200 signatures avant la fin mars. 

Voici le communiqué de l'UDC Genève :

« L’UDC Genève débute aujourd’hui la récolte de signatures contre la décision prise le 13 février 2022 par la majorité de gauche compromise du Conseil municipal de Genève d’autoriser désormais le port du burkini dans les piscines publiques de la Ville. Signez et faites signer notre référendum contre le burkini à Genève.

La majorité de gauche du Conseil municipal de Genève a décidé de réviser le règlement des installations sportives (qui fixe aussi les règles propres aux tenues sportives, notamment à la piscine) pour autoriser le port du burkini – un symbole d’inféodation des femmes aux règles de vie islamiques – dans les piscines publiques de la Ville de Genève.

Le burkini est à la piscine ce que la burqa est à la ville

Le burkini n’est ni plus, ni moins que le prolongement de la burqa à la piscine ! C’est une véritable talibanisation qui méprise les libertés et les droits des femmes alors que ces dernières sont importantes pour notre société libre et ouverte. Par sa décision, la majorité de gauche du Conseil municipal remet en question des décennies d’engagement en faveur des femmes.

Cette dérive inadmissible de la gauche genevoise n’est pas sans rappeler des dérives clientélistes identiques dans plusieurs villes et banlieues françaises. Malheureusement, de nombreux exemples en France démontrent que la compromission politique avec les revendications islamiques avait pour conséquence un net recul des libertés et des droits garantis aux femmes.

L’autorisation du burkini est un acte de violence contre les femmes

La compromission de la gauche genevoise avec les préceptes islamiques est inadmissible et intolérable. C’est un acte de violence inouïe contre les femmes et contre notre société libre et ouverte. C’est pourquoi le comité référendaire « Touche pas à ma liberté – Non au burkini à Genève » a saisi le référendum et vous incite à le signer dès à présent et à le faire signer à votre entourage.

www. non-au-burkini-a-geneve.ch »