Ils réclamaient un retour au 50 km/h. C’est donc non pour le canton qui affirme que « l’abaissement des vitesses comme mesure de protection a non seulement démontré ses effets mais a aussi été validé par les tribunaux pour sa proportionnalité, son économicité et son efficacité ».
Le canton ne veut pas non plus interférer avec une décision prise par la ville de Lausanne, compétente en la matière.