Cette mobilisation a débuté à l’occasion d’un cours sur le conflit israélo-palestinien. Le recteur s’est rendu sur place. Il a pu échanger dans le calme avec les étudiants qui réclament un cessez-le feu sur place ainsi qu'un boycott des institutions israéliennes. Ils devraient rester mobilisés ce week-end puisqu'ils ont reçu l'autorisation de rester sur place jusqu'à lundi.
En ce moment.
— Mountazar Jaffar (@JMountazar) May 2, 2024
Malgré le parti pris de la direction de @unil, tant ses étudiant-e-s que ses professeur-e-s se mobilisent contre le génocide et les crimes à Gaza.#FreePalaestine 🇵🇸✊🏽 pic.twitter.com/6aHMD9fmBb
Un mouvement qui fait tâche d'huile dans les universités
Le mouvement est parti des campus des Etats-Unis et du Canada. Il a aussi gagné la France avec des mobilisations à la Sorbonne cette semaine, alors que les principaux sites de Science-Po Paris resteront fermés ce vendredi pour les mêmes raisons.
A Lausanne c'est donc une série de cours qui est à l'origine du rassemblement. Des cours qui portent sur l'histoire du conflit israélo-palestinien et qui sont contestés par deux associations.
Organiser un cours à la hâte sur l’origine des conflit israélo palestinien confié à des théologiens à @unil c’est dire aux étudiants: vous n’avez rien compris à la situation, venez on vous l’explique. Pire, c’est ajouter une couche religieuse hors contexte. Contenir la colère… pic.twitter.com/pjHwYGFdeq
— Hasni Abidi (@hasniabidi) May 1, 2024
