Trois semaines après l’annonce, par la préfecture de la Haute-Savoie, de la restauration du péage sur l’A40 entre Annemasse et Saint-Julien-en-Genevois à compter de 2029, la société concessionnaire prend la parole pour détailler les mesures d’accompagnement qui seront mise en place.
Un péage avait déjà été en place auparavant
De 1981, année où la section de l’A40 permettant de rejoindre Lyon a été ouverte, à 1987, un péage était en place. A partir de cette année-là et jusqu’en 2015, son coût a été pris en charge par le département de la Haute-Savoie, entrainant la suppression des barrières de péage.
Une "nécessité de se mettre en conformité" selon la préfecture
Le directeur d’ATMB, Erwan Le Bris, parle de situation de non-conformité avec le droit sur les dix dernières années puisque le péage n’était plus acquitté, la préfecture évoquant dans son communiqué de presse du 11 mars, la nécessité de « se mettre en conformité vis-à-vis de la législation en vigueur ».
La décision était travaillée depuis 2017
Cette décision de restauration du péage, travaillée depuis 2017 en comité de pilotage, fait, à son annonce, débat pour son impact sur le portefeuille des 35 000 usagers quotidiens.
Erwan Le Bris présente le cadre des transactions menées :