L’entreprise Marti Construction a été contactée lors de l’action et elle a accepté d’ouvrir des discussions sur le sujet. Il est notamment question de négocier une solution conventionnelle avec les syndicats pour régler ce « recours abusifs au travail temporaire ». Unia prévient toutefois que sans l’ouverture de réelles négociations, les blocages de chantier se poursuivront.
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L’entreprise employait 66 % d’intérimaires
Ce matin (mercredi), à 7h, le syndicat Unia a bloqué un chantier où travaillaient 18 personnes, dont seulement 6 employés fixes à Genève.