Le suivi peut aller de la simple surveillance sur Internet à la une surveillance physique 24 heures sur 24. Pierre Maudet qui évoque également la question des djihadistes. Il estime que ceux qui reviennent méritent plus d’attention avec une prise en charge particulière à prévoir. Le conseiller d’Etat indique également que les imams et autres répondants des communautés musulmanes sont plus attentifs à la problématique, ce qui contribue aussi à augmenter le nombre d'individus sont soupçonnés de radicalisation.