Elle s’oppose donc à la contribution de la Confédération pour l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver. L’ATE met notamment en cause un recours quasiment exclusif à la voie aérienne pour se rendre sur deux des sites choisis pour la compétition, à savoir Saint-Moritz et Engelberg. L’association juge que l’inclusion de ces sites augmenterait considérablement les émissions de CO2, alors que les autres sites d’accueil prévoient des transports écologiques.
Les JO de Sion 2026 n’emballent pas l’ATE
L’association suisse des transports et environnement estime que cet évènement générera « un trafic désastreux ».