En l’état, le projet obligerait des voyageurs à se rabattre sur des trains qui s'arrêtent plus souvent ou à multiplier les correspondances. Entre Lausanne et Genève, les temps de parcours seront par exemple augmentés jusqu’à 8 minutes. Inacceptable pour le canton, alors que les CFF expliquent cette décision par les nombreux chantiers prévus dans les années à venir. La conseillère d'Etat Nuria Gorrite a sollicité une rencontre avec la direction des CFF.