Notamment la chancelière, le Président du Conseil d’Etat et le directeur du service des votations. Les révélations de la semaine dernière ont en tout cas soulevé de nombreuses questions. Vendredi Antonio Hodgers, Président genevois a affirmé qu'il n'existait aucun élément permettant de mettre en cause l'intégrité du scrutin du 19 mai.