Le sénat vient d’adopter cette proposition de loi suite à un avion de tourisme qui s’était posé tout près du massif en juin dernier. Bien que le code de l’environnement interdit les atterrissages sauvages en zone montagne, aucune sanction n’était prévue jusqu’à maintenant. De son côté, Jean-Marc Peillex, le maire de Saint-Gervais, avait écrit à Emmanuel Macron pour l’avertir de l’hyper-fréquentation du toit de l’Europe. Sont interdits et désormais punis par la loi les atterrissages en zone montagne à des fins touristiques et de loisirs. Les contrevenants sont passibles d’un an de prison et de 150 000 euros d’amende. La publicité de ce type d’événement est également passible de 6 mois d’emprisonnement et d’une amende.
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150 000 € d’amende pour les atterrissages
Les atterrissages sauvages sur le Mont-Blanc sont désormais punis par la loi.