Ils sont jugés depuis le début du mois pour avoir vendu des logements qui n’ont jamais été construits. Prix gonflés, honoraires indus, des logements vendus parfois à 6 personnes différentes ou encore des ventes sans aucune autorisation de construire…188 plaignants attendent désormais de pouvoir récupérer leur mise, certains se retrouvant dans des situations financières très délicates.
Les deux hommes vont faire appel.