Les élus proposent notamment une limite de temps, comprise entre 25% et 40% d’un équivalent temps plein, afin « d’éviter les effets de distorsion de concurrence avec les entreprises françaises », ainsi qu’une limite géographique réservée aux départements frontaliers, pour éviter des contre-effets en matière de mobilité, de pression foncière et d’étalement urbain. On rappelle qu’au sein du Bassin lémanique, le télétravail concerne plus de 40 000 travailleurs frontaliers des départements de l’Ain et de la Haute-Savoie.
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Des interrogations autour du télétravail des frontaliers
Le Pôle métropolitain du Genevois français a voté une motion à l’attention du gouvernement français, portant sur le maintien du télétravail frontalier et la recherche de solutions pérennes.