En cette fin d'année 2023, Vianney a occupé quasiment tout l'espace médiatique laissé aux chanteurs de variété française. Grâce à la sortie de son album "A 2 à 3", il s'est à nouveau retrouvé propulsé sur le devant de la scène, et invité dans tous les médias pour des interviews. Mais cette popularité a aussi son "revers de la médaille", et le chanteur subit une certaine pression de la part de médias pas toujours bien intentionnés : la fameuse presse people. Invité dans "Quelle Époque" sur France 2, il a abordé le sujet en avouant que ça avait failli le rendre fou :
Ces dernières années, on s'est fait beaucoup voler nos images de moments de vie intime, etc. Ça m'a rendu malade, ce truc-là. Alors qu'honnêtement, j'ai peur de rien, mais... Il m'est arrivé des trucs fous avec cette histoire [...] J'en ai coursé... J'ai failli faire des bêtises, quoi. Vraiment. Je me suis retenu, Léa, parce que je suis bien élevé. Mais oui, ça me rend fou, parce que c'est du vol."
Il a donc choisi de dévoiler une partie de son intimité lui-même en contrôlant les images dans le clip de "Maintenant", son duo avec Renaud.
"Ces moments-là, ils sont sacrés pour moi. Donc je me suis dit : 'je vais les montrer, mais sans dévoiler tout. Je vais montrer pourquoi c'est sacré'. On ne voit pas (les visages), mais j'aime bien cette idée-là. Au moins, c'est moi qui choisis."
Il a ensuite poursuivi en évoquant les liens avec sa belle-fille qui lui ont inspiré le titre "Beau-papa".
"C'est un amour auquel je ne m'attendais pas. C'est vrai que je voulais vraiment en parler. On est nombreux à vivre ça, c'est la société qui est comme ça. Il y a un amour qu'on peut développer pour un enfant qui n'est pas le nôtre, et qui est immense. Cette petite fille j'y pense toute la journée et j'y suis pour rien dans sa venue et son histoire. C'est un amour qui est réel, qui n'est pas évident, qui n'est d'ailleurs pas encore légalement clarifié et tout ça. Mais il faut reconnaitre que dans la vie de plein gens qui nous regardent, il y a des enfants, des beaux enfants, même des enfants adoptés, on ne les a pas faits, mais on les aime beaucoup."