La garde à vue de Chris Brown a pris fin ce mercredi 23 janvier. Dès sa sortie, le chanteur s'est adressé à ses followers sur les réseaux sociaux. Il leur confie, en majuscules : "C'EST UN ENORME MANQUE DE RESPECT POUR MA FILLE ET MA FAMILLE ET CONTRE MA PERSONNE ET MES VALEURS MORALES !!!!!"
Fin du cauchemar pour Chris Brown! Le chanteur accusé de viol et placé par la suite en garde à vue a été relâché, sans poursuites. Il a informé ses millions de followers de cette très bonne nouvelle et laisse entendre qu'il pourrait porter plainte à son tour, pour diffamation.
Chris Brown compte plus de 50 millions d'abonnés sur Instagram. C'est là qu'il a publié une nouvelle image ce mercredi 23 janvier, peu après minuit, dès sa sortie de garde à vue. "CETTE SA***E MENT", peut-on lire, le tout signé d'une pyramide, le logo de sa marque de vêtements. Il écrit ensuite, et en majuscules : "JE VEUX ÊTRE PARFAITEMENT CLAIR...... C'EST FAUX, C'EST UN TAS DE MENSONGES ! JAMAIS !!!!!! C'EST UN ENORME MANQUE DE RESPECT POUR MA FILLE ET MA FAMILLE ET CONTRE MA PERSONNE ET MES VALEURS MORALES !!!!!"
Chris Brown a été interpellé par la police à Paris ce lundi 21 janvier 2019 au matin, alors qu'il résidait au Mandarin Oriental. Une jeune femme de 24 ans l'accuse en effet de l'avoir violée. Par la suite une enquête a été ouverte et le chanteur de 29 ans a été placé en garde à vue.
Les faits se seraient produits dans la nuit du 15 au 16 janvier dernier. La plaignante a affirmé avoir rencontré Chris Brown au Crystal Lounge, une boîte de nuit située près des Champs-Élysées. Elle l'a ensuite suivie dans sa suite du Mandarin Oriental, luxueux hôtel du 1er arrondissement. La victime supposée se serait finalement retrouvée seule dans une chambre avec le chanteur, qui l'aurait violée. Elle a ajouté qu'un ami de Chris Brown et son garde-du-corps avaient aussi abusé d'elle. Les deux hommes avaient également été placés en garde à vue.
Désormais libre, Chris Brown songe à contre-attaquer la jeune femme, "en raison de la calomnie dont il fait injustement l'objet", précise son avocat, Me Raphaël Chiche.